Et voilà Gael, pas d'excuse, c'était marqué, GARE DU NORD ^^
Bref je tiens quand même a faire partager mon épopée d'aujourd'hui !!
16h50: je pars de chez Mary, avec Ann-so, Adrien et Jeanne (deux non-thonois). Sachant que mon train était à 17h20, ça allait....
17h00: Galèèèère galèèèère dans la gare du nord pour trouver ce p****n de RER D ! Trop mal fichue cette gare !
17h10: Dans le RER "Je vais le louuuuuper... je vais le loupppper" (mon train)
Après j'ai perdu toute notion du temps (en fait j'étais tellement en stress que j'ai pas eu le temps de regarder ma montre.
On arrive devant le panneau, Adrien me dis "il est voie C" je composte mon billet, et la je tape le sprint du siècle mit valise...
Voie C, le train attend sagement, il est 17h23.
17h30: C'était bien la peine que je me presse tiens !
17h47: le train démarre (enfin!) et là....(c'est le drame) annonce: "Chers passagers, bienvenue à bord du train 6123 à destination de Lyon Perrache"... QUOI ? LYON ? GNE ?... Et merde, je suis montée ds le mauvais train !!
18h: je croise la controleuse... Vachement sympa et compatissante, elle me cherche un itinéraire pour rejoindre avignon... Ca donnait a peu près ça: Lyon-Valence, Valence-avignon. Simple non ?
Tout se passe bien, j'arrive à Valence à bord d'un magnifique TER tout neuf... et là j'avais normalment un TGV à 21h11... Je cherche, je cherche...rien, aucun train à destination d'avignon...pffiou
Le plus flippant, c'est que j'étais ds un petite ville merdique (Valence), entourée d'individus plutot louches (des racailles, des punks, des clochards...) qui venaient me parler avec leur phrases pré-faites (ça m'a vaguement rappellé le "Hey mam'zelle, z'avez fait tomber quequ'chose ! C'est mon coeur, i's'est brisé en mille morceaux...")
Bref le guichet SNCF ? fermé bien sur ! Poisse jusqu'au bout hein !
Et là ma sauveuse, jeanne (pas la mono) m'appelle et elle était devant son ordi (alléluia) et donc elle a cherché des trains, et effectivement un certain TER indiqué pour Montpellier déservait aussi avignon....
Voilà, C'était mon épopée, ou comment rentrer chez soi avec 6h30 de retard....